Qui sommes nous?

Déjà on est nous…parce que tous les autres sont déjà pris.

L’éthiquête c’est un projet qui a mûri pendant plus d’un an et aboutira en cours d’année 2018. On peut dire qu’il est inspiré par le documentaire « Demain », les mouvements tels que Colibris, Générations Cobayes, et participe des nombreuses initiatives positives et alternatives qui proposent de changer de façon souvent simple notre quotidien.

L’éthiquête c’est un café alternatif et collaboratif où l’on peut manger bio et 100% végétal, en privilégiant les circuits courts ; mais c’est aussi un lieu vivant où l’on est invité à échanger, s’informer, travailler (coworking). L’espace « Atelier », ouvert à tous, permettra la mise en place d’ateliers collaboratifs qu’ils soient proposés et animés par l‘éthiquête ou par toute personne désireuse d’utiliser cette espace pour une séance collaborative dans des domaines aussi divers et variés que l’on peut imaginer (atelier cuisine, débat, DIY, permaculture, bricolage, sciences, couture, …), parce que nous avons tous des passions, un savoir à partager et l’envie de découvrir et enrichir nos connaissances.

Claire, à l’initiative de ce projet, a été Responsable d’un service juridique dans un cabinet parisien pendant plus de 10 ans, et a longtemps accompagné des créateurs d’entreprises. Végétarienne dès l’adolescence et plus récemment végétalienne puis végane, passionnée de cuisine végétale, militante dans différents domaines, elle a souhaité créer un lieu chaleureux, vivant, pour faire découvrir une cuisine végétale simple, gourmande, inciter au partage et favoriser les initiatives personnelles ou/et collectives.

Frédéric, binôme de toujours, également juriste, intéressé par les questions de santé, transition alimentaire, transition écologique, mais également la protection animale ; il s’est déjà engagé sur le terrain afin de sensibiliser des élus, collectivités et restaurateurs à la cuisine végétale. Il apporte ses nombreuses compétences au projet, sans oublier celle de testeur de nouvelles recettes.

Pourquoi « l’éthiquête »?
La quête de l’éthique… parce que c’est vachement plus simple que celle du Graal en fait. D’ailleurs ils sont encore dessus…

La quête de l’éthique c’est faire des choix en accord avec ses valeurs. Rien de plus simple finalement à appliquer au quotidien, lorsque les alternatives existent.

Et lorsque l’on commence à raisonner comme un acteur de sa consommation, on peut choisir les différentes actions que l’on veut mener. Il ne s’agit pas de recherche de perfection, mais d’être des consommacteurs, avec des moyens et alternatives plus ou moins développés suivant le lieu où l’on se trouve.

Appliquer à une entreprise c’est aussi avoir une démarche globale, choisir ses fournisseurs (produits, énergie, banque,…) et trouver sans cesse les meilleurs alternatives, savoir évoluer et être créatif. C’est aussi offrir un peu plus qu’un simple service et essayer de faire partie des solutions.

L’éthiquête c’est aussi un clin d’œil au mot étiquette.

L’étiquette qui a longtemps collé à la peau des végétariens, végétaliens et végans, avant que ce débat, pourtant déjà vieux de 25 siècles, revienne enfin dans le débat public et y trouve un écho important.

L’étiquette également que le consommateur est censé décrypter pour tenter de comprendre ce qu’il achète…le décryptage d’étiquette est un super pouvoir que les VG, intolérants, ou allergiques sont obligés de développer. Exercice difficile et encore imparfait tant les industriels restent volontairement flous voire carrément muets sur la composition, la provenance ou encore les lieux et conditions de production.

L’éthiquête enfin et surtout parce que c’est difficile à orthographier et qu’on adore donner du fil à retordre à notre conseiller en communication et stratégie Web désigné d’office…Claude on t’aime fort.